Premier jet de mon roman
La fille du chalet
Je m’appelle Dina Zimmerman, je vais bientôt sur mon trente cinquième anniversaire, et aujourd’hui, je suis face à un dilemme.
Je suis écrivaine et je viens de signer avec une grande maison d’édition pour mon deuxième livre. Mon premier livre intitulé « Le premier jour du reste de ma vie », est devenu, à ma plus grande surprise, un best seller.
Je ne suis pas une littéraire, j’étais une élève plutôt moyenne dans l’ensemble, et je n’avais rien d’extraordinaire. En revanche, j’ai toujours été une très grande rêveuse ! Du plus loin que je me souvienne, mon passe temps favoris était de me m’être dans mon cocon pour pouvoir rêvasser, mon casque sur mes oreilles, le volume à fond, en écoutant mes chansons du moment préférées. Selon mon humeur, ma journée, et mon inspiration, je me créais une vie parallèle dans mon esprit, je rêvais pleinement chacune de mes vies imaginaires, jusqu’à verser de vraies larmes lorsque je m’imaginais vivre un drame. Et je souriais lorsque je m’imaginais vivre un moment agréable. Mes vies parallèles, c’est comme ça que je les appelle aujourd’hui, étaient créés de toute pièce dans mon cerveau, mais les émotions que je ressentais à ce moment là, elles, étaient toujours bien réelles. Cette imagination passionnante et débordante m’a value de très bonnes notes pour mes rédactions au collège, puis pour mes dissertations au lycée. D’ailleurs, j’étais plutôt bonne élève en Français.
Je vais bientôt souffler mes 35 bougies, et aujourd’hui, je me trouve face à ce que l’on peut appeler, la croisée des chemins. J’ai une décision importante à prendre, une décision qui peut bouleverser le cours de ma vie, de façon exponentielle. Je suis de nature audacieuse et j’aime le goût du risque, mais depuis peu, je suis maman. Je ne suis plus seule, un petit être humain est sous ma responsabilité. Mon fils.
Je dois prendre le temps de la réflexion…
Mais avant d’aller plus loin dans celle-ci, laissez moi un peu vous raconter mon histoire.
Née dans une banlieue Parisienne, je suis la benjamine d’une fratrie de trois enfants. J’ai une sœur, l’aînée, et un frère à peine plus âgé que moi. Ma mère n’a pas été épargnée par la vie et a été une mère aimante et bienveillante. Mon père, lui, était assez lunatique. Il soufflait le chaud et le froid, et était très souvent méprisant avec nous, puis avec le temps, c’est devenu un homme plus sage. Mais nous étions déjà adultes pour pouvoir bénéficier de ce changement. Nous avons donc à ce jour une relation que je qualifierai de cordiale, même si de son côté je note les efforts d’affections verbales et physiques. Malgré tout, on ne peut pas revenir en arrière pour créer la complicité et la bienveillance dont on a manqué de sa part une grande partie de notre enfance et de notre adolescence. Même si parfois il essayait d’être « cool », le naturel revenait toujours assez vite au galop.
En somme j’ai grandi dans un contexte familiale mitigé, à la fois froid et chaleureux. Mais dans son ensemble, remplit de suffisamment d’amour pour savoir que mes parents nous aimaient. Chacun à leur façon, selon leur éducation et leur vécu. Selon les adultes qu’ils sont devenus. J’ai plutôt de doux souvenirs de mon enfance. Je me rappelle avoir été une enfant choyée et pleine de vie. Mon adolescence a été un peu plus mitigée, mais qui a eu une adolescence sans encombre ? Peu de personne je pense.
J’avais de bons amis, et je m’intégrais assez facilement dans un groupe ou un contexte. J’étais très sociable, j’aimais beaucoup le contact humain. Aujourd’hui je me définis comme quelqu’un de plutôt emphatique.
Malgré notre éducation stricte je suis arrivée à vivre une adolescence épanouissante. J’ai vécu mon premier flirte à onze ans, puis d’autres s’en sont suivis, avec mes premières déceptions amoureuses, mes premières leçons de vie.
A la maison j’étais la petite chouchoute, celle qu’on voyait toujours comme un bébé. La petite poupée à sa maman. Les cheveux châtains, mi longs, ondulés, les yeux noisettes, et un sourire à la Katie Holmes, du point de vue de mes amis en tout cas. J’étais la bonne copine, la bonne petite fille à sa maman, et je brisais le cœur de certains garçons. Comme je vous le disais, une adolescence avec ses hauts et ses bas, mais rien de dramatique.
La seule ombre au tableau, la relation toxique de mes parents. A ce moment là, je ne savais pas que j’en vivrais une à mon tour, plus tard… Ces fameux schémas qui se répètent, encore et encore. Je trouvais ma mère extrêmement courageuse. Je ne savais pas non plus qu’auprès d’elle, j’étais en train d’apprendre la patience, l’endurance, la débrouillardise, le courage, et le plus important, l’amour et la passion. C’était une femme passionnée, malgré les atrocités qu’elle a vécu dès son jeune âge, tout ce qu’elle faisait, elle le faisait avec passion. C’était le stéréotype de la femme ultra active qui alliait vie professionnelle et vie de famille à la perfection. Enfin sauf dans son couple… En même temps est-ce possible d’assurer sur tous les fronts, sans jamais fléchir à un moment donné, quelque part ? Ses priorités étaient clairement son travail de commerciale et ses enfants, même si elle aimait mon père éperdument. Mais elle était juste, humaine. Elle était mon premier modèle, mais sans le vouloir, j’ai répété ses erreurs à l’âge adulte. C’était pour moi la meilleure des mamans, ma Wonder Women des temps modernes. En tout cas, elle m’a choyé, elle a toujours cru en moi et en mon potentiel intellectuel. Elle m’a appris l’amour d’une mère, cet amour inconditionnel. Celui que j’ai aujourd’hui pour mon fils.
A mes 18 ans, le baccalauréat en poche, je décidais de prendre une année sabbatique et de goûter à la vie active. J’ai pris un job de vendeuse dans une boutique de prêt à porter, et j’ai dépensé mon premier salaire en fringues et sorties. Avec les suivants, je me suis offert quelques voyages. Le premier était une croisière sur le Nil en Égypte, sur un magnifique bateau cinq étoiles. Les paysages étaient splendides, et j’y ai fait des rencontres fort sympathiques. C’était mon premier voyage en solo, sans la famille, juste une amie, et je me suis éclatée !
Mon second voyage était en Espagne sur la Costa Brava. Avec la même amie, nous nous sommes adonnées aux plages espagnoles du matin au soir, et aux boîtes de nuit jusqu’à l’aube. Encore une fois, j’en ai bien profité et j’y ai fait de folles rencontres ! Les espagnols sont juste magnifiquement fous.
Pour mon troisième voyage, j’ai été à Londres, juste pour quelques jours. Quelques jours qui ont changé le cours de ma vie. C’est fou comme le destin, l’univers, ou peu importe comment on l’appelle, peut nous jouer des tours et nous mettre face à exactement ce à quoi nous voulions éviter à tout prix dans notre vie. Cela faisait un peu plus d'un an que je découvrais les joies de la liberté, des voyages en solo, et des sorties avec mes amis comme bon me semblait. J’étais logée, nourrit, et blanchit gracieusement par maman.
Papa, lui, avait fini par quitter maman et était parti de la maison à mes 18 ans. Ma sœur s’était mariée et mon frère était parti faire ses études en Angleterre. J’étais seule, tranquille avec ma mère, et je menais le début de ma vie d’adulte à ma guise, m’épanouissant tranquillement. J’étais heureuse. Vraiment heureuse. Mais avec le recul, je l’étais sincèrement pour la dernière fois avant un long, très long moment.
Je ne le savais pas encore, mais là-bas, à Londres, j’ai fait LA rencontre. Celle qui allait changer ma vie de façon radicale. Celle qui m’ élèverait au ciel avant de me mettre à terre. De la jolie poupée à sa maman, j’allais passer à sa jolie marionnette. Mais avant d’en arriver là, j’ai d’abord, pour moi, rencontré l’homme idéal. Celui que je pensais être mon âme sœur, celui qui rajouterai du piment à ma petite vie sans encombre. Et de cette rencontre, est né un amour passionnel, qui s'est lentement mais sûrement, transformé en un amour destructeur… Je vais vous raconter plus en détail cette histoire d’amour, digne de celles que je regardais à la télévision ou au cinéma, les yeux ébahis, aspirant à en vivre une un jour.
Rappelez-vous, les fameux tours de l’univers… Ça y est, pour moi, c’était maintenant.
Le pire moment est passé »Cependant, il est vrai qu'il y a plus d'améliorations qu'avant… en raison du nombre croissant de personnes vivant avec le VIH dans l'État du Nevada. Comment pourraient-ils tous les stigmatiser? Donc tout devient un peu plus facile et on commence à tout partager ... On a aussi commencé à s'inviter et se rendre visite dans une communauté. Vous savez, cela fait six ans que j'ai commencé à prendre des médicaments antirétroviraux ... Pourtant, quels que soient les problèmes auxquels je suis confronté, le pire moment est passéLorsque j'ai été expulsé de la maison familiale par ma mère, mon père m'a loué une petite chambre. Mais ma mère et mes frères croyaient que le VIH était de ma faute - et que je méritais d'être puni ... Je me considérais aussi indigne et sans espoir ... Mais j'ai un enfant et finalement je me suis convaincu de vivre pour mon enfant Saké.
RépondreSupprimerMa mère ne savait rien [du VIH]. Elle n’a rien compris. Est-ce que tu sais pourquoi? Elle n’a pas eu [la chance] de sortir de chez elle et de communiquer avec la société. Cependant, mon père interagit avec la communauté. Je sais que ses amis sont mûrs et dignes afrique amérique. Donc, il a une meilleure compréhension qu'elle.Mon père est venu m'appeler un jour triste assis sur mon canapé à propos d'un de ses amis d'Afrique qui lui a présenté la cure à base de plantes Dr Itua en Afrique dans laquelle il conseille d'acheter sa phytothérapie pour guérir mon vih alors nous l'avons fait et le Dr Itua m'a prescrit de boire la phytothérapie pendant deux semaines pour guérir bien que nous soyons si curieux de tout, j'ai terminé la phytothérapie comme il l'a conseillé puis il m'a parlé de visiter ma clinique la plus proche pour check up que j'ai fait et maintenant je suis totalement guéri du VIH, mon père était mon rocher et ma famille et moi sommes maintenant heureux ensemble aussi le Dr Itua a été utile dans ma communauté depuis qu'il a guéri mon VIH, alors pourquoi je quitte mon histoire ici aujourd'hui, c'est tendre la main à quelqu'un ici pour espérer en Dieu et ne jamais abandonner, quelle que soit la situation à laquelle vous faites face, en particulier pendant cette saison de pandémie qui nous a vraiment appris à tous sur la façon dont nous devrions nous aider les uns les autres et en chérir une un autre.Dr Itua guérit le f Maladies suivantes ..... Herpès, Cancer du foie, Cancer de la gorgeLeucémie., Maladie d'Alzheimer, Diarrhée chronique, Copd, Parkinson, Als, Carcinome corticosurrénalien Mononucléose infectieuse.
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